Claire et le modèle jetable

PISSEDEBOUT a rassemblé quelques témoignages de ses client-e-s, voici celui de Claire …

temoignage-pissedebout-clairePISSEDEBOUT : Bonjour, peux-tu nous parler un peu de toi ?

Je suis une nana nomade et aventurière, sans chichis, mais n’aimant pas aller à la recherche du « parfait petit coin de nature derrière les buissons » pour me soulager en vadrouille.

PISSEDEBOUT : Quand as-tu acheté ton 1er pisse-debout ( à peu près, hein ) ?

En 2014, à l’occasion de la fête de la bière à Munich. J’avais pris plusieurs sachets pour mes amies et moi, étant donné que j’avais appris que dans certaines tentes il y avait un mur d’eau sous le bar pour se soulager. Je me suis dite qu’il n’y avait pas de raison pour qu’il n’y ait que les hommes qui y ait droit 🙂

PISSEDEBOUT : Quel(s) modèle(s) ?

Le jetable

PISSEDEBOUT : Es-tu satisfait-e de ton pisse-debout ?

À 100%

PISSEDEBOUT : Quelle est la dernière fois que tu en as eu besoin ?

Au camping du Grand Canyon, l’été dernier.

PISSEDEBOUT : Tu en as besoin souvent / rarement / régulièrement ?

souvent

PISSEDEBOUT : Dans quelles conditions ?

Quand les toilettes sont inexistantes, ou loin, ou qu’il y a trop de monde en festival.

PISSEDEBOUT : Pourrais-tu nous faire partager un peu de ton expérience ? Une anecdote ? Un conseil ?

Avant que je ne découvre l’existence des pisse-debouts, je me fabriquais un entonnoir à partir de pack de bières lors des piques-niques le long des quais de Seine, pour pouvoir utiliser les pissotières pour homme. Une fois un mec m’a surprise de loin, m’a interpellé du genre « eh mais vous êtes folle », puis quand je lui ai expliqué que y’avait pas de raison que je ne puisse pas utiliser les pissotières et que c’était le stratagème que j’avais trouvé, il a finalement changé son discours pour me dire « en fait c’est pas con, vous êtes maline » 🙂

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